Maintenant que les vieux Internet Explorer (<10) ont quasiment disparu de la surface du globe, on peut utiliser les placeholders sans la moindre ligne de JS. Et pour styler ça, rien de tel qu’une mixin SCSS.
Une mixin pour de bien jolis placeholders

Maintenant que les vieux Internet Explorer (<10) ont quasiment disparu de la surface du globe, on peut utiliser les placeholders sans la moindre ligne de JS. Et pour styler ça, rien de tel qu’une mixin SCSS.
Il est facile dans une WP_Query de dire « je veux les 15 derniers posts », ou bien « je veux les posts depuis le 17 mars ». Mais il est également possible de récupérer les posts des n derniers jours.
Comme déjà évoqué dans les précédents articles sur le sujet, TYPO3 utilise maintenant le moteur de template FLUID.
L’avantage du système est qu’il est possible de l’utiliser dans l’ensemble des étapes de la mise en place d’un site, comme par exemple le développement d’extension (voir article sur le développement) ou l’ajout de fonctionnalité à une extension existante (voir article sur l’extension), mais aussi dans la phase d’intégration du site.
Les concepts et les avantages restent les mêmes quelque soit l’utilisation de FLUID, comme par exemple le fait de pouvoir utiliser des viewhelpers mis à disposition par d’autres extensions, ou mettre en place simplement des conditions au niveau de l’affichage.
Le code typographique français nous demande d’insérer une espace fine insécable devant les signes de ponctuation double (c’est en réalité plus compliqué que ça, mais on va simplifier). Nous voyons souvent sur le web un point d’exclamation collé au mot qui le précède, ou pire: un retour à la ligne juste avant à cause d’une espace simple. Voici comment transformer automatiquement dans WordPress une espace en espace insécable devant ces signes de ponctuation.
J’ai rédigé un petit tuto pour l’utilisation de la fonctionnalité « live search » ainsi que le paramétrage pour faciliter la recherche sur des éléments précis.
L’article est consultable ici : Microtut : Live Search
Bonne lecture.
Enfin! Le moment tant attendu est arrivé: votre client vous a donné son « go » pour mettre en ligne son site. Problème: la plupart les pages contiennent du Lorem Ipsum. Pire: elles ne sont même pas encore créées et la plupart des liens du menu pointent sur #. Voici comment prévenir les internautes avant qu’ils cliquent, pour ne pas les frustrer.
WordPress nous propose par défaut toute une ribambelle de classes dans body
et article
. C’est très gentil à lui mais la plupart sont inutiles, il est donc intéressant d’alléger un peu son code HTML. On va pas non plus gagner des brouettes de Ko, mais c’est toujours ça de gagné.
Pour modifier la taille d’une background image en CSS, il y a plusieurs solutions, comme par exemple les valeurs contain
ou cover
de la propriété background-size
. Mais celles-ci dépendent du wrapper. En pourcentage, même problème: on est dépendant du wrapper (et on risque de déformer l’image). En pixels il faut connaître la taille de l’image. Sass, vite.
Même s’il est facile de trouver un plugin qui ferait l’affaire, voyons comment utiliser une image d’un article, pour en faire sa 2ème image à la une. Sans champ supplémentaire. Sans sueur. Uniquement en détournant le champ « description » de l’image.